Le sommeil est le souverain moyen pour qui veut récupérer. C'est un facteur qui affecte nos vies. Les troubles du sommeil augmentent les risques infectieux, immunitaires, de diabète, d'hypertension, d'obésité et les maladies cardiovasculaires. Loin de vouloir de vous effrayer mais les mauvais dormeurs verraient leur espérance de vie impactée.

Le sommeil se décompose en 4 stades...

1. endormissement
2. sommeil léger (représente 50% d'un cycle), la plupart des gens pensent ne pas dormir
3. sommeil lent
4. sommeil lent et profond : phase cruciale pour la récupération, reconstitution du corps grâce aux hormones de croissance

Soyez vigilant, le simple fait de se coucher à des heures irrégulières affecte la qualité du sommeil. Comme tout bon sportif, il arrive que vous ayez des difficultés à vous endormir après une séance surtout si elle était intense. Votre sytème nerveux vient de monter en puissance et a du mal de redescendre.

Quelques recommandations cependant : évitez de trop boire (café ou alcool, tout dépend des dates d'anniversaire en début de semaine !).

La volonté est une tension qui nous tient éveillé, nous empechant ainsi de nous abandonner dans les bras de Morphée...

Bien manger, bien dormir forment le duo gagnant pour optimiser la récupération. Un manque de sommeil réduit les réserves musculaires en sucres (glycogène). Ce manque provoque des douleurs encore plus ressenties, le corps répond avec des réactions inflammatoires et des pannes de ''carburant''.

Si une nuit a été mauvaise, il est possible de la rattraper en faisant une "micro" sièste" pendant une vingtaine de minutes ou bien en allégeant une séance. Ces petites pauses sont idéales lors de périodes d'entrainements intenses et d'ailleurs votre corps ne tardera pas à vous le faire savoir et à vous le demander.

Rassurons-nous, la nuit qui suit une mauvaise nuit permet de récupérer la majeure partie des capacités physiques et mentales perdues.